Il est donc autour de 9 heures quand nous débarquons a Mazatlan, l'objectif de la journée, c'est de relier Mexico, a 900 kilomètres au sud. Théoriquement c'est jouable, mais après 3 semaines sur la route et une nuit en bateau, nous verrons si la pratique rejoind la théorie.
C'est la même route qu'a l'aller, mais dans le sens inverse, nous retrouvons donc les paysage de Tepic puis nous arrivons dans l'après-midi a Guadalajara pour la pause déjeuner. On accuse un peu le coup, mais finalement ca va plutôt bien.
Après une bonne heure, on repart Direction Mexico.
La route est en bon état, il fait beau, pas trop chaud, les paysage entre Guadalajara et Morelia sont superbes... mais l'heure tourne
On arrive vers 7h30 a proximité de Morelia qui est au bord d'un... Lac.
Et qui dit chaleur + Lac + fin de journée dit????
Moustiques!!!!
Oui enfin la, c'est un peu too much tout de même... C'est pas des moustiques, ce sont des nuages de moustiques que l'on doit affronter!
Tous les 4-5 kilomètres on doit s'arrêter pour laver nos visières maculées d'insectes écrasés...
Pour compliquer le tout, la nuit finit de tomber complètement...
Bon, que fait-on? On est encore a 3h30 de Mexico...
Je suis chaud pour continuer mais Jean Marc me raisonne et nous décidons de nous arrêter la pour aujourd'hui et de chercher un petit hôtel a l'entrée de Morelia.
La seule chose que nous trouvons, c'est un motel (i.e., un hôtel dans lequel on rentre directement dans la chambre en voiture question de garder son anonymat parce que généralement, on y va pas avec sa femme...) mais l'entrée de la ville est en travaux, il y a du trafic et on est haché, donc va pour le motel.
La réceptionniste est un peu surprise de voir débarquer deux bikers qui en plus lui demande de rester plus que les 8 heures maxi... On se fait livrer une pizza et des bières et on est bien content de retrouver un vrai lit après la nuit sur le ferry.
La moto après avoir traversé les nuages de moustiques, ca sent pas la rose, plutôt le poisson pas frais :-(
Vendredi matin, nous laissons notre hôtel de charme et repartons vers l'autoroute de Mexico.
Nous arrivons sans encombre en milieu de journée: c'est le retour au Defectuoso... la fin du voyage.
Je laisse Jean Marc a la Condesa et rentre en direction de la maison, bien content a l'idée de retrouver Adriana mais avec tout de même un petit pincement au cœur.
C'étaient vraiment des super Vacances!!!!
vendredi 6 août 2010
La Paz - Mazatlan
Dernier jour en Baja California: cet l'après-midi on prend le ferry pour Mazatlan.
Dans la matinée, on passe donc au port pour prendre nos billets, faire contrôler les motos, passage sur la balance... Puis, direction une petite plage pour déjeuner et se rafraichir avant d'embarquer.
Vers 15h, retour au port, on doit attendre que tous les poids lourds embarque, donc on poirote sur le dock mais l'avantage, c'est qu'on sortira les premiers !
Les poids lourds, c'est parce qu'au lieu de prendre le ferry touristique avec couchette, nous prenons le ferry "de carga", le confort est sommaire, mais c'est moitié moins cher et le diner et petit déjeuner sont inclus!!!
Nous pouvons vérifier que ce genre d'endroit est mal fréquente: il y a plein de rats dans les rochers près de l'eau...
Fin de journée sympathique sur le pont, couché de soleil, lecture, rédaction de mail: on a 18 heures a tuer...
La nuit ne sera pas spécialement confortable, on avait commencé a dormir sur le pont, mais la pluie nous a obligé a nous replier vers la salle commune: grande pièce remplie de sièges type avion. Pour dormir, nous prenons exemple sur les camionneurs: retirer les cousin des sièges pour faire un matelas a même le sol...
Au milieu de la nuit, Jean Marc ayant froid se décide a aller chercher les sacs de couchage.
Le problème c'est que l'accès a la soute ou se trouvent les motos (avec toutes nos affaires) est fermée.
Qu'a cela ne tienne, on trouve un autre accès a l'autre bout du pont mais une fois en bas, les camions sont tellement garés au chausse pied qu'il est impossible de se faufiler entre eux... Mission Rambow donc pour JM qui passera SOUS les camions pour atteindre les motos... Je vous laisse imaginer l'état dans lequel il reviendra. Mais du coup, je peux dormir plus confortablement, merci JM, t'ai vraiment un pote.
On se réveille pas très frais le lendemain matin, et ce n'est pas le petit déjeuner qui nous remettra d'aplomb... Qui a eu l'idée saugrenue de servir du foie au petit déjeuner????
Enfin, on arrive en vue des cotes de Mazatlan, et a 9h, sous sommes a quai.
Dans la matinée, on passe donc au port pour prendre nos billets, faire contrôler les motos, passage sur la balance... Puis, direction une petite plage pour déjeuner et se rafraichir avant d'embarquer.
Vers 15h, retour au port, on doit attendre que tous les poids lourds embarque, donc on poirote sur le dock mais l'avantage, c'est qu'on sortira les premiers !
Les poids lourds, c'est parce qu'au lieu de prendre le ferry touristique avec couchette, nous prenons le ferry "de carga", le confort est sommaire, mais c'est moitié moins cher et le diner et petit déjeuner sont inclus!!!
Nous pouvons vérifier que ce genre d'endroit est mal fréquente: il y a plein de rats dans les rochers près de l'eau...
Fin de journée sympathique sur le pont, couché de soleil, lecture, rédaction de mail: on a 18 heures a tuer...
La nuit ne sera pas spécialement confortable, on avait commencé a dormir sur le pont, mais la pluie nous a obligé a nous replier vers la salle commune: grande pièce remplie de sièges type avion. Pour dormir, nous prenons exemple sur les camionneurs: retirer les cousin des sièges pour faire un matelas a même le sol...
Au milieu de la nuit, Jean Marc ayant froid se décide a aller chercher les sacs de couchage.
Le problème c'est que l'accès a la soute ou se trouvent les motos (avec toutes nos affaires) est fermée.
Qu'a cela ne tienne, on trouve un autre accès a l'autre bout du pont mais une fois en bas, les camions sont tellement garés au chausse pied qu'il est impossible de se faufiler entre eux... Mission Rambow donc pour JM qui passera SOUS les camions pour atteindre les motos... Je vous laisse imaginer l'état dans lequel il reviendra. Mais du coup, je peux dormir plus confortablement, merci JM, t'ai vraiment un pote.
On se réveille pas très frais le lendemain matin, et ce n'est pas le petit déjeuner qui nous remettra d'aplomb... Qui a eu l'idée saugrenue de servir du foie au petit déjeuner????
Enfin, on arrive en vue des cotes de Mazatlan, et a 9h, sous sommes a quai.
jeudi 5 août 2010
Santa Rosalia - La Paz: attention aux raies
Après une bonne nuit, nous sommes près a repartir et attaquons cette journée de bonne humeur comme il se doit.
La cote de la mer de Cortez est superbe, mer bleue, cactus verts... c'est superbe.
Petite pause sur une première plage, puis sur une seconde: petite baie, lieu de villégiature de quelques chanceux retraités gringos. Je m'étais déjà arrêté la il y a deux ans et c'est toujours aussi beau.
nous garons donc les motos sur la plage, sautons dans nos maillot et allons nous baigner dans une eau presque pas assez rafraichissante, si c'est pas le paradis, ca y ressemble!
Bah en fait non, c'est pas exactement le paradis, en revenant vers le rivage, JM marche sur quelque chose de flasque qui le pique, il crie, tombe dans l'eau en se retenant a moi...
"Bon, JM arrête de faire le Mariole..."
"Non, déconne pas, quelque chose m'a arracher le pied!!!"
En fait, en voyant ca tête, je me rends compte qu'il rigole pas du tout...
Retour sur la plage, il a une grosse marque de piqure sur la cheville et atrocement mal.
On a l'air con là tout d'un coup tout seul sur la plage...
ah... non... y a quelqu'un qui arrive...
On termine donc sur la terrasse d'un des retraités, JM avec son pied dans une bassine d'eau bouillante "pour tuer les toxines" et toujours aussi mal.
C'est bête, il a même pas pleuré...
Nos hôtes sont un groupe de retraités gringo, tous de l'aviation civile, super sympa même si dans le but de consoler JM, la conversation prend un tour bizarre: "mon pace maker", "mon ablation d'un rein"...
Après 3 heures et un bon déjeuner a base de fruits de mer, la douleur disparait soudainement (i.e. devient beaucoup plus supportable) et nous pouvons reprendre la route.
Direction Loreto puis remontée vers le plateau centrale en direction de La Paz.
Suite a une petite pose, Jean Marc me distance, mais c'est pas grave, comme les "montagnes" arrivent, je le rattraperai dans les virages...
Et effectivement, en arrivant sur une courbe, grosse peur, je vois une moto par terre pres du précipice... et pas de Jean Marc, cafard "oh le drame..."
En fait, comme à son habitude (ca lui est arrivé 3 fois au cours du voyage : jolie moyenne d'une gamelle par semaine) il a fait tombé sa moto a l'arrêt... Bravo champion!!!
Plus de peur que de mal donc. On repart.
Joli couché de soleil sur la route, c'est sympa, sauf qu'il nous reste encore 100 bornes avant d'arriver a La Paz... Mais nous finissons par arriver a La Paz.
... La Paz? Vous êtes certains? c'est pas plutôt Venise?
Si si, c'est bien La Paz, inondée par les restes de tempête et les pluies diluviennes de la journées qui se sont arrêtées juste pour notre arrivée.
Fin d'une longue journée qui restera longtemps gravée dans no mémoire... et dans la cheville de Jean Marc.
C'est marrant, depuis qu'on est revenu au Mexique, tous les jours on a une nouvelle tuile...
La cote de la mer de Cortez est superbe, mer bleue, cactus verts... c'est superbe.
Petite pause sur une première plage, puis sur une seconde: petite baie, lieu de villégiature de quelques chanceux retraités gringos. Je m'étais déjà arrêté la il y a deux ans et c'est toujours aussi beau.
nous garons donc les motos sur la plage, sautons dans nos maillot et allons nous baigner dans une eau presque pas assez rafraichissante, si c'est pas le paradis, ca y ressemble!
Bah en fait non, c'est pas exactement le paradis, en revenant vers le rivage, JM marche sur quelque chose de flasque qui le pique, il crie, tombe dans l'eau en se retenant a moi...
"Bon, JM arrête de faire le Mariole..."
"Non, déconne pas, quelque chose m'a arracher le pied!!!"
En fait, en voyant ca tête, je me rends compte qu'il rigole pas du tout...
Retour sur la plage, il a une grosse marque de piqure sur la cheville et atrocement mal.
On a l'air con là tout d'un coup tout seul sur la plage...
ah... non... y a quelqu'un qui arrive...
On termine donc sur la terrasse d'un des retraités, JM avec son pied dans une bassine d'eau bouillante "pour tuer les toxines" et toujours aussi mal.
C'est bête, il a même pas pleuré...
Nos hôtes sont un groupe de retraités gringo, tous de l'aviation civile, super sympa même si dans le but de consoler JM, la conversation prend un tour bizarre: "mon pace maker", "mon ablation d'un rein"...
Après 3 heures et un bon déjeuner a base de fruits de mer, la douleur disparait soudainement (i.e. devient beaucoup plus supportable) et nous pouvons reprendre la route.
Direction Loreto puis remontée vers le plateau centrale en direction de La Paz.
Suite a une petite pose, Jean Marc me distance, mais c'est pas grave, comme les "montagnes" arrivent, je le rattraperai dans les virages...
Et effectivement, en arrivant sur une courbe, grosse peur, je vois une moto par terre pres du précipice... et pas de Jean Marc, cafard "oh le drame..."
En fait, comme à son habitude (ca lui est arrivé 3 fois au cours du voyage : jolie moyenne d'une gamelle par semaine) il a fait tombé sa moto a l'arrêt... Bravo champion!!!
Plus de peur que de mal donc. On repart.
Joli couché de soleil sur la route, c'est sympa, sauf qu'il nous reste encore 100 bornes avant d'arriver a La Paz... Mais nous finissons par arriver a La Paz.
... La Paz? Vous êtes certains? c'est pas plutôt Venise?
Si si, c'est bien La Paz, inondée par les restes de tempête et les pluies diluviennes de la journées qui se sont arrêtées juste pour notre arrivée.
Fin d'une longue journée qui restera longtemps gravée dans no mémoire... et dans la cheville de Jean Marc.
C'est marrant, depuis qu'on est revenu au Mexique, tous les jours on a une nouvelle tuile...
El Rosario - Santa Rosalia: il s'en est fallu de pneu
Le programme de la journée... c'est de rouler.
Pas trop a se préoccuper le l'orientation, en basse Californie, il y a une seule route, donc a moins de revenir sur ses pas, y a pas trop moyen de se perdre.
Après El Rosario, le prochain bled (et plus important, la prochaine pompe a essence) est a exactement 354 kilomètres.
C'est problématique sachant que:
Résultat des courses: Jean-Marc arrive en roule libre a la station service SANS avoir eu a utiliser son bidon d'essence!!!
Entre temps, nous sommes passé par une vallée ou les cactus sont supposés être les plus grands du monde... jugez sur pièce:
Après une pose déjeuner a Guerrero Negro, vous continuons vers le sud pour rallier Santa Rosalia et la mer de Cortez!!!
C'est justement au cours d'une pause photo dans la descente vers la mer que me regard se pose sur le pneu de JM... "dis donc, t'as vu l'état de ton pneu? il est mort..."
C'est bête ca, surtout que deux jours avant a San Diego, on avait longuement réfléchi a changer son pneu, "non, ca devrait aller, il tiendra encore jusqu'au DF..." et ben en fait, non
Arrivée a Santa Rosalia a petite vitesse car du coup, JM a peur... Évidemment, il n'y a rien qui ressemble a un magasin de moto dans le coin, mais comme on est au Mexique, on tombe sur un mec, qui connait un type dont le cousin a un voisin qui vend un pneu...
Au final, le pneu est déjà bien usé, vendu bien cher, pas de la bonne taille, mais comme on a pas trop le choix, on termine au t"taller X" ou le vendeur nous monte le pneu... Ouf!
Pas trop a se préoccuper le l'orientation, en basse Californie, il y a une seule route, donc a moins de revenir sur ses pas, y a pas trop moyen de se perdre.
Après El Rosario, le prochain bled (et plus important, la prochaine pompe a essence) est a exactement 354 kilomètres.
C'est problématique sachant que:
- la moto de Jean-Marc consomme normalement un plein en 200 kilomètres
- j'ai failli tomber en panne sur ce tronçon la dernière fois ne devant mon salut qu'a un pick-up opportunément placé qui vendait de l'essence au bord de la route.
Résultat des courses: Jean-Marc arrive en roule libre a la station service SANS avoir eu a utiliser son bidon d'essence!!!
Entre temps, nous sommes passé par une vallée ou les cactus sont supposés être les plus grands du monde... jugez sur pièce:
Après une pose déjeuner a Guerrero Negro, vous continuons vers le sud pour rallier Santa Rosalia et la mer de Cortez!!!
C'est justement au cours d'une pause photo dans la descente vers la mer que me regard se pose sur le pneu de JM... "dis donc, t'as vu l'état de ton pneu? il est mort..."
C'est bête ca, surtout que deux jours avant a San Diego, on avait longuement réfléchi a changer son pneu, "non, ca devrait aller, il tiendra encore jusqu'au DF..." et ben en fait, non
Arrivée a Santa Rosalia a petite vitesse car du coup, JM a peur... Évidemment, il n'y a rien qui ressemble a un magasin de moto dans le coin, mais comme on est au Mexique, on tombe sur un mec, qui connait un type dont le cousin a un voisin qui vend un pneu...
Au final, le pneu est déjà bien usé, vendu bien cher, pas de la bonne taille, mais comme on a pas trop le choix, on termine au t"taller X" ou le vendeur nous monte le pneu... Ouf!
Back to Mexico
San Diego nous a beaucoup plus, c'est nettement plus petit que d'autres villes par lesquelles nous sommes passés, et c'est très sympa. Dans la soirée, tour des bars, des boites et nuit courtes a l'auberge de jeunesse.
Le lendemain matin, départ pour Tijuana, c'est juste a coté, mais on sent vraiment le changement de pays!!!!
Le passage de la frontière en tant que tel est une formalité mais une fois le "border" passé, on se sent de retour au Mexique: poussière, bordel, gens partout, route défoncée... de la même façon que l'on a été surpris par le passage Mex - US ("c'est tellement propre que y a même plus de moustiques") on est frappé par le retour au sud.
Passage express par Tijuana... de loin en fait, puis direction Ensenada par la cote.
Ensenada, on connait, donc on passe aussi rapidement qu'a Tijuana direction El Rosario.
A la sortie d'Ensenada, la route s'ouvre sur le désert et e retrouve les sensations de mon précédant voyage... I feel good...
Petite pause déjeuner dans un village construit au bord, c'est sympa de retrouver la cuisine locale.
On est la, posé tranquillement, a siroté un coca, en se disant que tout de même on doit être un peu déranger pour traverser un désert en moto sous ce soleil quand on voit arriver...
... Un type en vélo... bah oui, et tout de noir vêtu 8-D
Il est suisse, ca fait 14 mois qu'il est sur la route faisant un tour du monde... Ok, en fait, on est des petits joueurs.
On reprend notre route, les paysages défilent, on est content et tout d'un coup... PFFFFFFF, ok, j'ai crevé.
Heureusement, on arrive a l'entrée d'une petite ville, on trouve une "Talacha" ou l'employé me fait une réparation toute mexicaine a base de colle et de bouts de chambre a air. Ça a tenu tout le voyage, sans trop fuir, donc chapeau sur ce coup la...
Le lendemain matin, départ pour Tijuana, c'est juste a coté, mais on sent vraiment le changement de pays!!!!
Le passage de la frontière en tant que tel est une formalité mais une fois le "border" passé, on se sent de retour au Mexique: poussière, bordel, gens partout, route défoncée... de la même façon que l'on a été surpris par le passage Mex - US ("c'est tellement propre que y a même plus de moustiques") on est frappé par le retour au sud.
Passage express par Tijuana... de loin en fait, puis direction Ensenada par la cote.
Ensenada, on connait, donc on passe aussi rapidement qu'a Tijuana direction El Rosario.
A la sortie d'Ensenada, la route s'ouvre sur le désert et e retrouve les sensations de mon précédant voyage... I feel good...
Petite pause déjeuner dans un village construit au bord, c'est sympa de retrouver la cuisine locale.
On est la, posé tranquillement, a siroté un coca, en se disant que tout de même on doit être un peu déranger pour traverser un désert en moto sous ce soleil quand on voit arriver...
... Un type en vélo... bah oui, et tout de noir vêtu 8-D
Il est suisse, ca fait 14 mois qu'il est sur la route faisant un tour du monde... Ok, en fait, on est des petits joueurs.
On reprend notre route, les paysages défilent, on est content et tout d'un coup... PFFFFFFF, ok, j'ai crevé.
Heureusement, on arrive a l'entrée d'une petite ville, on trouve une "Talacha" ou l'employé me fait une réparation toute mexicaine a base de colle et de bouts de chambre a air. Ça a tenu tout le voyage, sans trop fuir, donc chapeau sur ce coup la...
Well, it's been a while...
bon, j'ai arrêté le compte rendu a San Francisco, depuis, ca fait longtemps que l'on est rentré, mais entre l'absence de réseau en basse Californie et le retour au bureau, je n'ai jamais pris le temps de clore la boucle...
Donc de San Francisco, direction au sud vers Los Angeles par la mythique Pacific Road Highway.
C'est classique, nous avons eu du brouillard sur la très grande majorité du parcours, mais c'était sympa!
Nous arrivons a LA dans la matinée le jour suivant, on passe par les coins les plus connus: Venice Beach, Beverly Hills, Hollywood...
c'est une très grande ville, il faut évidemment du temps pour la connaitre, mais ce n'est pas ce dont on a envie, on prend donc la direction de San Diego en fin de journée.
Donc de San Francisco, direction au sud vers Los Angeles par la mythique Pacific Road Highway.
C'est classique, nous avons eu du brouillard sur la très grande majorité du parcours, mais c'était sympa!
Nous arrivons a LA dans la matinée le jour suivant, on passe par les coins les plus connus: Venice Beach, Beverly Hills, Hollywood...
c'est une très grande ville, il faut évidemment du temps pour la connaitre, mais ce n'est pas ce dont on a envie, on prend donc la direction de San Diego en fin de journée.
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